Je ne sais pas vous, mais moi j’ai envie d’un peu de douceur et de “mignonnerie” en cette fin de semaine surchargée.
Aujourd’hui, pas envie de parler fringues, pas envie non plus de parler expo.
A défaut d’aller passer un week-end sabbatique à cueillir des champignons au fin fond du Larzarc (aucune idée s’il y a des champignons là-bas, d’ailleurs), j’ai juste envie de me poser tranquillement à la maison, à regarder la nature à travers les photos que j’ai pris il y a quelques mois, lors d’un week-end à Londres (voir les autres post de ce week-end ici et ici).
Autant les expositions, la mode et les voyages m’inspirent, autant le contact avec la nature me ressource.
Et si vous me suivez depuis un moment sur le blog vous savez sûrement que j’aime la nature et adore les animaux 🙂
C’est aussi pour ça que j’aime tant Londres car comparée à Paris, Londres a beaucoup plus de parcs.
Et qui dit plus d’espaces verts, dit aussi plus d’animaux sauvages.
Avant de reprendre l’Eurostar, nous nous sommes promenés à Saint James Park à la recherche d’écureuils. Et malgré l’heure de la sieste apparente pour tout le monde (y compris les écureuils), en cherchant un peu et en les appelant à coup de “gnignigni”, “gnignigni”… on a quand même réussi à en trouver un!
Paolo avec les noix dans la main, l’écureuil sur son genoux, moi photographiant l’animal (qui malgré les apparences restait très sauvage), qui me regardait tout en mangeant sa noisette. C’est fou! On avait une conversation à trois! Et même si l’on a essayé d’inverser les rôles avec Paolo, c’est bien dans le premier sens que nos 3 rôles fonctionnaient!
Avec cette séance photo, j’ai réalisé un de mes rêves: pouvoir toucher et photographier (de très près) un écureuil.
Ce fût un moment unique, plein d’émotion et de tendresse, où l’on ne peut s’empêcher de penser que même si l’homme est grand par sa taille nous demeurons tout petit face à la beauté et la pureté de la nature et des animaux.
Très bon week-end mes écureuils!
Photos: by me!